Axel Bernard -
20 mars 2019
12 000 manifestants étaient rassemblés lundi 18 mars pour dire non à la réforme sur les aides à la promotion de l’emploi (APE). Celle-ci menace le monde associatif et les services publics en Wallonie. Deux jours plus tard, c'était la crise au Parlement wallon. Faute de majorité, le gouvernement a dû reporter l’examen de la réforme. « C'est un encouragement pour le mouvement social, la réforme des APE doit être rejetée », estime Germain Mugemangango, le porte-parole du PTB.
Rédaction en ligne -
20 mars 2019
Le ministre des Pensions Daniel Bacquelaine (MR) refuse une augmentation des pensions pour les travailleurs et travailleuses qui n’ont pas de carrière complète. De qui s’agit-il ? Surtout de femmes, qui ont des pensions particulièrement basses. Raoul Hedebouw est monté au créneau la semaine passée au parlement. Continuons le combat pour gagner l’égalité.
Quentin Vanbaelen -
19 mars 2019
Le PTB a appris avec stupéfaction et colère que le Collège communal de Namur a décidé que la Ville ne mettra pas de panneaux électoraux sur le territoire de la capitale wallonne. « Difficile de ne pas voir là une volonté claire de restreindre le débat démocratique aux seuls partis traditionnels, en excluant les voix alternatives, que porte entre autres le PTB », réagit Thierry Warmoes, président du PTB Namur et conseiller communal.
Rédaction en ligne -
15 mars 2019
Jeudi 14 mars, on apprenait que le tribunal de première instance de Bruxelles a rendu un arrêt concernant les dotations des partis politiques qui présentent des listes dans les deux parties du pays. La décision est importante pour le PTB. « Les partis de la majorité, N-VA en tête, bloquent depuis des années la dotation à laquelle le PTB a droit, réagit le président du PTB, Peter Mertens. La N-VA, le parti le plus riche du pays, qui est assis sur 35 millions d'euros, pense apparemment que les petits partis ne devraient pas obtenir ce à quoi ils ont droit, surtout s'ils défendent l'unité de la Belgique. La N-VA ne digère pas le fait que le PTB est un parti unitaire. Le tribunal a maintenant clairement rejeté leur raisonnement. »
Rédaction en ligne -
15 mars 2019
Les partis de la majorité, N-VA en tête, privent le PTB de 1,5 million d’euros ! Ils bloquent la dotation depuis des années mais hier, le tribunal a donné RAISON au PTB.La N-VA, le parti le plus riche du pays, avec ses 35 millions d'euros, pense apparemment que les petits partis ne devraient pas obtenir ce à quoi ils ont droit, surtout s'ils défendent l'unité de la Belgique...On ne se laisse pas faire ! Partagez cette vidéo pour protester avec nous
Axel Bernard -
12 mars 2019
L'Union européenne a revu ce 12 mars ses listes noires et grises des paradis fiscaux. Oxfam dénonce le fait que certains des paradis fiscaux les plus néfastes de la planète, tel Panama et Hong Kong, ne figurent plus sur ces listes. Le PTB rejoint la préoccupation de l'ONG et dénonce une marche-arrière de l'Union qui, sous l'effet de pressions politiques et économiques, baserait sa nouvelle liste sur des engagements formels des pays plutôt que sur la réalité.
Luk Vandenhoeck -
12 mars 2019
La diversité est un grand atout pour une société, si celle-ci réussit à offrir à chacun des chances et des droits égaux, si l'on fait en sorte que la solidarité l'emporte sur la rivalité. Malheureusement, le racisme crée de nombreux obstacles. C'est pourquoi le PTB sera présent le 24 mars pour la grande manifestation contre le racisme et les discriminations à Bruxelles. Et vous ?
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11 mars 2019
Une femme sur trois, qu'elle ait été salariée ou indépendante, doit vivre avec une pension de moins de 750 euros par mois. En moyenne, les femmes touchent un tiers de pension en moins que les hommes. Comment est-ce possible ? À cause des inégalités liées à leurs carrières plus courtes et leurs salaires plus bas. Mais aussi à cause d'une série de mesures prises par plusieurs gouvernements successifs, tous partis traditionnels confondus. Petit aperçu en quatre étapes.
Marc Botenga -
11 mars 2019
« L’Europe est en danger. Il faut la sauver. Avançons. » Sous forme de lettre, les citoyens européens ont eu droit à l’énième discours pro-européen du président français. Macron parle, Charles Michel applaudit, Guy Verhofstadt renchérit. Les interprètes changent, le refrain pas. Derrière cette rhétorique éloquente en faveur de l’Union européenne se cache un angle mort dangereux. Plutôt que de s’y opposer, leurs politiques et les traités actuels alimentent la montée des nationalismes.
Axel Bernard -
9 mars 2019
L’un est liégeois, l’autre est limbourgeois. Frédéric Gillot et Gaby Colebunders vont traverser la frontière linguistique et se présenter aux élections dans la province de l'autre. Tous les deux ont été ouvriers et syndicalistes. Ils ont tous les deux un mandat pour le PTB. Et ils ont encore en commun qu'ils... détestent les disputes communautaires.