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Ensemble contre le fascisme : refaisons du 8 mai un jour férié

Le 8 mai 1945, l'Allemagne nazie signe sa capitulation sans conditions, marquant la fin du régime barbare d'Adolf Hitler. La Coalition 8 mai demande que le 8 mai, date anniversaire de la victoire sur le fascisme, redevienne un jour férié annuel officiel. Une commémoration, mais aussi une mise en garde. Plus que jamais, rappelons-nous à quoi peuvent mener la haine et la déshumanisation. Car le fascisme n'a pas disparu. Il peut toujours revenir.

Le PTB a déposé un projet de loi pour faire du 8 mai, date anniversaire de la victoire sur le fascisme, un jour férié officiel. Nous soutenons ainsi l'appel de la Coalition 8 mai, une association de syndicats, d'organisations et de personnalités de la société civile, de la culture et du monde universitaire.

Nous devons aux héritiers de toutes les victimes du fascisme et de l'Holocauste de mettre en garde contre toute forme de haine, de racisme, d'antisémitisme et de xénophobie

Peter Mertens

Secrétaire général

« De la victoire sur la barbarie nazie sont nés les systèmes de sécurité sociale, la Déclaration universelle des droits humains, le renforcement du mouvement de décolonisation dans le Sud et la mise en évidence du racisme comme doctrine criminelle conduisant à la violence et à la terreur. Nous espérons qu'à l'avenir, le 8 mai retrouvera la place qu'il mérite. »

Parce que les mécanismes qui ont conduit à la violence et aux violations barbares des droits de l'homme à l'époque sont de nouveau à l'œuvre aujourd'hui, nous soutenons la proposition de refaire du 8 mai un jour férié annuel. Plus d'espace sera ainsi créé ce jour-là pour se souvenir de cette page noire de notre histoire et en tirer des leçons pour l'avenir.

Informations sur la commémoration du 5 mai 2024 organisée par la Coalition 8 mai

Commémoration au Fort de Breendonk

La Coalition 8 mai a organisé le dimanche 5 mai une commémoration au Fort de Breendonk.

Avec des discours d'entre autres Miranda Ulens (présidente de la FGTB flamande), Ann Vermorgen (présidente de la CSC) et Olivier Valentin (secrétaire national de la CGSLB). Simon Gronowski a également pris la parole. En 1943, alors âgé de 11 ans, il a pu s'évader d'un train en direction d'Auschwitz.