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Nabil Boukili sera notre tête de liste pour le parlement fédéral à Bruxelles : « Il faut une rupture avec les politiques traditionnelles »

Vous pouvez compter sur notre tête de liste à Bruxelles pour défendre la justice sociale et nos droits démocratiques dans la rue et au parlement. Que ce soit dans la rue ou au parlement, cet Anderlechtois de 30 ans, papa de deux enfants, fait résonner la voix de la classe travailleuse qui se mobilise à Bruxelles.

Mercredi 20 décembre 2023

Nabil Boukili, député fédéral PTB.

Nabil Boukili est âgé de bientôt 39 ans et est député fédéral depuis 2019. Papa de deux enfants en bas âge, il habite à Anderlecht dans la cité jardin de Moortebeek. « Je me présente comme tête de liste à Bruxelles pour un second mandat au parlement fédéral. Durant cette législature, j’ai été actif sur plusieurs fronts. Comme celui de la justice où j’ai participé au mouvement qui a fermé la voie à la loi “anti-manifestants”. Ce fameux projet de loi que le bourgmestre de Bruxelles, Philippe Close, voulait imposer pour limiter le droit de manifester. C’est un point qui nous tient évidemment à cœur avec le PTB : le droit de manifester et d’imposer des changements à travers la mobilisation sociale. C’est ce droit qui est à la base de la plupart des avancées sociales et démocratiques de notre pays. Récemment encore, c’est grâce à la mobilisation que les travailleurs et travailleuses ont pu arracher la TVA à 6% sur l’énergie ou le fond blouse blanche de refinancement du secteur hospitalier. »

Ces dernières années, le député bruxellois a réussi à trouver sa place dans l’enceinte politique belge. On l’a récemment remarqué dans sa capacité à relayer la mobilisation pour réclamer un cessez-le-feu en Palestine et la fin du génocide en cours dans la bande de Gaza. Dans la rue ou dans les enceintes parlementaires, il entend et répercute les voix de Bruxelles qui se mobilisent.

Le choix du PTB en 2024, c’est le choix de la rupture avec 30 ans de politiques traditionnelles. C’est le choix d’un parti qui ne trahira ni ses revendications ni ses combats.

Nabil Boukili

Député à la Chambre.

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Nabil Boukili (PTB) prend la parole au Parlement.

Évidemment, l’action de Nabil Boukili ne s'arrête pas aux libertés démocratiques et  à son engagement pacifiste. Le député cadre son action dans l’action générale de son parti : « Le choix du PTB en 2024, c’est le choix de la rupture avec 30 ans de politiques traditionnelles. La rupture avec les vieilles recettes libérales qui ne marchent pas pour répondre à l’urgence sociale. La rupture avec l’austérité. La rupture avec la politique de privatisation. Avec le PTB, nous faisons le choix du service public, le choix d’une fiscalité juste qui ramène la TVA à 0% sur l’alimentaire et taxe enfin les milliardaires, le choix du modèle viennois pour le logement où 60% du parc locatif appartient au public, le choix des transports publics gratuits et de qualité à Bruxelles, le choix d’un parti qui ne trahira ni ses revendications ni ses combats. » 

« Le PTB ne fera pas le choix du renoncement comme la gauche traditionnelle le fait à chaque élection »

Par rapport à l’attitude vis-à-vis des partis traditionnels, le député précise : « Le PTB ne fera pas le choix du renoncement comme la gauche traditionnelle le fait à chaque élection. Pour faire de l’austérité ‘sociale’ ou de l’élitisme écologique, il y a déjà une large offre politique dans le chef des partis traditionnels. Choisir le PTB, cela veut dire la rupture avec ces partis qui défendent des revendications en campagne électorale et les trahissent au lendemain des élections. Tout cela au nom du réalisme libéral. Le PS et Ecolo veulent appliquer l’austérité mais ils n’osent pas le dire juste avant les élections. Ils veulent la mettre en œuvre après. Choisir le PTB, c’est au contraire faire le choix de la lutte contre l’austérité avant les élections, et de la continuer après. »

Le député bruxellois rappelle aussi l’attachement du parti de gauche à l’unité du pays : « Le choix du PTB en 2024, ce sera aussi le choix de la rupture avec toutes les politiques de scission de ces 30 dernières années et celles que le PS et la N-VA ont voulu nous imposer lors des négociations pour la formation d’un gouvernement en 2019. La lasagne institutionnelle ne marche pas. Elle entraîne des gaspillages. Son seul rôle est de régionaliser l’austérité. Son seul rôle est de “diviser pour régner”. Qu’avons-nous gagné avec la régionalisation des allocations familiales ? À part qu’il faut trois administrations au lieu d’une pour gérer les allocations familiales. Qu’aurions-nous à gagner à une division de notre système de pension ? Le choix du PTB sera donc le choix du combat pour l’unité du Nord et du Sud, l’unité de la sécurité sociale et l’unité du combat commun. »