À la demande expresse du patronat, la Vivaldi entend imposer de nouvelles mesures de flexibilité face au variant Omicron dans les entreprises. Les prépensionnés et les personnes en crédit-temps sont, par exemple, incitées à retourner au travail. Des mesures dites « d’urgence », mais qui, deux ans après le début de la crise, tendent à se répéter. Le PTB appelle à mettre fin à cette politique de démantèlement du droit du travail et parvient à retarder le vote sur l’adoption de ces nouvelles mesures. « Une honte », selon le patronat, qui s’est empressé de manifester son mécontentement sur les réseaux sociaux.