Le PTB installe une piscine de rue dans un quartier populaire du centre de Bruxelles
Ce mercredi 12 août, le PTB aménage une piscine éphémère dans une rue du quartier populaire des « 5 blocs », dans le centre de Bruxelles. « Avec les fortes chaleurs que nous subissons depuis plusieurs jours, nous souhaitons permettre aux enfants de se rafraîchir tout en s’amusant », explique Françoise De Smedt, cheffe de groupe PTB au parlement bruxellois.
Victoire : le gouvernement bruxellois n’enverra pas la mission économique prévue en Israël
Ce jeudi 21 novembre, nous apprenons dans la presse que le gouvernement bruxellois s'apprêterait à annuler sa mission économique en Israël prévue début décembre. Cela fait suite aux pressions du PTB, qui avait introduit il y a un mois une résolution pour demander la fin de telles missions économiques, et du monde associatif.
Palestine : le PTB demande d’annuler la mission économique de la Région bruxelloise en Israël
Le groupe PTB a introduit une résolution au parlement bruxellois : les élu.es du PTB demandent d’annuler une nouvelle mission économique en Israël. Cette mission devrait avoir lieu entre le 8 et le 12 décembre prochain. En 2014, la mission économique de la Région avait déjà dû être annulée in extremis, grâce notamment à la pression populaire et à une pétition qui avait été lancée par le PTB.
Les promesses de la majorité bruxelloise PS-Ecolo-Défi tombent à l’eau
En juillet, le gouvernement bruxellois prétendait avoir des remèdes pour l’urgence sociale et écologique. 3 mois plus tard, il n’a toujours pas pu expliquer comment les financer. « Sans argent, toutes ces promesses tomberont à l’eau », explique Françoise De Smedt, cheffe de fraction du parti de gauche. « Car sans rupture avec le cadre austéritaire et la logique libérale, ce gouvernement ne saura baisser les loyers, réduire la pauvreté, ni répondre aux enjeux climatiques et de mobilité. »
Violences contre des militants pacifistes d’Extinction Rebellion : le PTB exige une réaction de la majorité de la Ville de Bruxelles
Le PTB condamne l’intervention policière qui a lieu hier à Bruxelles contre le rassemblement pacifiste pour le climat, qu’il juge totalement disproportionnée. « Rien ne pouvait justifier un tel recours à la violence, avec dispersion par autopompe et coups de matraques contre des militants pacifistes », réagit la cheffe de groupe du PTB à la Ville de Bruxelles, Mathilde El Bakri, qui interpellera la majorité PS-Ecolo-Groen-Défi à ce sujet.
Une taxe kilométrique de 200 euros par mois à Bruxelles ? Le PTB refuse cette taxe injuste et inefficace
Le gouvernement bruxellois (PS-Ecolo-Défi-s.pa-Groen-Open vld) a annoncé à travers la voix de la ministre Groen de la Mobilité Elke Van Den Brandt vouloir instaurer une taxe kilométrique à Bruxelles. « Voilà donc la première mesure phare que veut mettre en œuvre le « progressiste » gouvernement bruxellois : une taxe injuste et inefficace », dénonce Françoise De Smedt, cheffe de groupe PTB au Parlement bruxellois.
Pourquoi l’accord gouvernemental à Bruxelles n’est pas un accord social
Le 18 juillet, le gouvernement bruxellois Vervoort 3 (PS-Ecolo-Défi-s.pa-Groen-Open vld) a présenté son accord de gouvernement. Emballé sous une belle étiquette de « remède pour l’urgence sociale et écologique », il s’agit davantage d’un accord fait pour les promoteurs immobiliers, les grandes entreprises et les plus nantis, qui ne va résoudre ni la crise du logement, ni la pauvreté, ni les enjeux climatiques et de mobilité auxquels sont confrontés les travailleurs et travailleuses bruxellois.
Accord du nouveau gouvernement bruxellois : « Une belle étiquette pour cacher les faux remèdes »

L’accord du nouveau gouvernement bruxellois est-il social ? Françoise De Smedt, cheffe du groupe PTB-PVDA au Parlement bruxellois, a dénoncé le manque de mesures sociales et écologiques derrière l’étiquette « de gauche » de cet accord. Un accord fait pour les promoteurs immobiliers, les grandes entreprises et les plus nantis, qui ne va résoudre ni la crise du logement, ni la pauvreté, ni les enjeux climatiques et de mobilité auxquels sont confrontés les travailleurs et travailleuses bruxellois.