En juillet, le gouvernement bruxellois prétendait avoir des remèdes pour l’urgence sociale et écologique. 3 mois plus tard, il n’a toujours pas pu expliquer comment les financer. « Sans argent, toutes ces promesses tomberont à l’eau », explique Françoise De Smedt, cheffe de fraction du parti de gauche. « Car sans rupture avec le cadre austéritaire et la logique libérale, ce gouvernement ne saura baisser les loyers, réduire la pauvreté, ni répondre aux enjeux climatiques et de mobilité. »