La stratégie de Bart De Wever suite aux élections est claire : prendre le pays en otage et forcer les autres partis, francophones et néerlandophones, à céder une réforme de l’État, voire le confédéralisme, pour avoir un gouvernement. Face à cela, certains seraient tentés de céder. Pourtant, solidarité et division ne font pas bon ménage. Il est temps de faire entendre une autre voix.