Les gens d’abord

« Les gens d’abord, pas le profit. » Rien ne définit mieux le PTB (le Parti du Travail de Belgique) que cette idée fondamentale. Les gens ne sont pas des numéros. La société n’est pas une loterie. Nous valons beaucoup mieux que ça.

Aujourd’hui, tout est devenu marchandise : la santé, l’emploi, l’enseignement, l’environnement, la participation, la solidarité internationale et la paix sont sacrifiés à l’appât du gain.

Nous voulons changer les priorités. Remettre cette société sur ses pieds. D’où « les gens d’abord, pas le profit ».

« Les gens d’abord », ça vaut aussi au sein du PTB. Un parti où les gens se sentent chez eux. Un parti où des valeurs comme l’humanité, la solidarité et la justice veulent vraiment dire quelque chose. Un parti actif, avec 20 000 membres dans tout le pays. Un parti en plein essor. Un parti qui ne prétend pas tout savoir, mais un parti déterminé. Qui dit les choses telles qu’elles sont. Qui est pour la priorité de gauche.

Peter Mertens,
président du PTB

L’énergie n’est pas un produit de luxe

Le gaz, l’électricité et l’eau sont de plus en plus chers. Pourtant, ce ne sont pas des produits de luxe, mais des produits de première nécessité.

D’autres droits fondamentaux comme la santé, la mobilité et le logement deviennent très chers aussi. Dans une société démocratique, ces droits fondamentaux ne devraient pas dépendre de l’épaisseur de notre portefeuille. Ils devraient être accessibles à tous, sans exception.

Le gouvernement intervient pour sauver les banques et couvrir de cadeaux les grandes entreprises, mais c’est le simple citoyen qui paie la note, et deux fois plutôt qu’une.

Nous voulons changer les priorités. Les gens d’abord, pas le profit. C’est possible avec, entre autres :

  • de l’énergie durable, accessible à tous. Pas de taxe supplémentaire sur l’énergie, réduction de la TVA de 21 à 6% sur le gaz et l’électricité ;
  • un prix maximal pour l’eau, le pain, les loyers et les autres produits de première nécessité ;
  • le maintien de l’indexation automatique des salaires mieux rémunérés pour les jeunes ;
  • de véritables augmentations salariales et des emplois mieux rémunérés pour les jeunes ;
  • une augmentation des pensions et des allocations sociales.

À votre santé

Quel est votre souhait le plus cher ?

Que vous et vos proches restiez en bonne santé, certainement.

C’est à l’initiative du PTB que Médecine pour le Peuple est née : onze maisons médicales employant plus de deux cents collaborateurs, médecins, infirmières, assistants sociaux, psychologues, kinésistes, diététiciens ainsi que des bénévoles. Ils assurent une médecine gratuite et de qualité, accessible à tous, en Wallonie comme en Flandre et à Bruxelles.

Or, dans notre pays, une famille sur sept ne peut plus payer ses factures de soins de santé. Nous voulons changer les priorités. Les gens d’abord, pas le profit.

Par exemple, le docteur Dirk Van Duppen, conseiller communal à Anvers, propose d’obtenir le meilleur médicament au prix le plus bas par des appels publics d’offres. Grâce à sa proposition, connue sous le nom de « modèle kiwi », le prix des médicaments anti-cholestérol a baissé de 84 %. Les soins de santé devraient partir des besoins des gens. Cela devrait aller de soi.

La taxe des millionnaires

Swissleaks, Luxleaks, Panama Papers : chaque année, un nouveau scandale fait les gros titres des journaux. Il n’y a pas d’argent, nous dit-on. En tout cas, pas pour une politique sociale. Quelque chose cloche évidemment quand on ne fait rien pour combattre 30 milliards d’euros de fraude fiscale.

Quand on ménage les millionnaires en leur faisant payer de moins en moins d’impôts. Évidemment, les problèmes commencent quand on ne va pas chercher l’argent là où il est, auprès des grande fortunes et des plus-values. Évidemment, les problèmes commencent quand on va toujours chercher l’argent chez les mêmes, les travailleurs et petits indépendants. Pendant ce temps, une petite minorité s’enrichit sans la moindre gêne, avec toutes les conséquences que ça a pour le reste de la société.

Nous voulons changer les priorités. Les épaules les plus fortes doivent porter les charges les plus lourdes. Nous proposons ainsi une taxe des millionnaires. Cette taxe s’appliquera aux fortunes de plus d’un million d’euros et ne touchera que 2 % des familles : les plus riches de notre pays. Mais elle rapportera annuellement plus de huit milliards d’euros.

De l’argent dont nous avons urgemment besoin pour créer de nouveaux emplois dans l’enseignement et les soins de santé, pour investir dans la recherche et développement, et pour refinancer la sécurité sociale.

Un bon emploi est un droit de l’homme

Un emploi stable et décent est très important. Il procure un revenu, une vie sociale, un rythme régulier, l’appréciation de son entourage. C’est un gage de sécurité dans l’existence.

Pourtant, ce type d’emploi est de plus en plus menacé. Horaires irréguliers, flexibilité, rythme infernal, heures supplémentaires deviennent notre lot quotidien. Cela mine la santé ainsi que la vie sociale et familiale. Pour ceux qui font les bénéfices, on ne travaille jamais assez vite ni assez bien. Comment concilier travail, vie de famille et vie sociale dans ces conditions ?

Nous voulons changer de modèle. Prendre le chemin du « travailler moins, travailler tous et vivre mieux ».

C’est possible avec, entre autres :

  • l’introduction de la semaine de 30 heures. La ville de Göteborg, en Suède, a prouvé que c’est possible ;
  • le rétablissement des prépensions et d’une vraie pension anticipée ;
  • de nouveaux emplois dans l’enseignement, les soins de santé et les crèches.

Nous n’allons pas payer leur crise deux fois

Huit ans après la crise de 2008, rien n’a vraiment changé. Au contraire. Les banques sont plus puissantes que jamais. Les multinationales profitent de la situation pour licencier massivement, imposer des salaires plus bas et durcir encore les conditions de travail. Et, en un grand hold-up, des millions d’euros sont passés dans les mains des plus riches.

Pendant ce temps, en Europe, un jeune sur quatre est sans travail, on impose la mendicité à des peuples entiers et chez nous aussi le nombre de working poor, des pauvres qui travaillent, augmente. Les petits indépendants doivent aussi payer la note.

Nous voulons changer les priorités. Nous devons changer de cap :

  • en créant un secteur bancaire public, où l’épargne sera en sécurité ;
  • en bridant la spéculation : interdiction des fonds spéculatifs, des produits structurés ou dérivés à risque et de la spéculation à court terme ;
  • en supprimant les paradis fiscaux ;
  • en introduisant un véritable impôt sur les fortunes au niveau européen ;
  • en investissant dans de nouveaux emplois publics : écoles, crèches, soins de santé, isolation des logements, construction de logements sociaux, transports en commun et services publics.

Red Is The New Green

Sans la biodiversité, nous n’aurions rien à manger. Pas d’air pur à respirer. Pas d’eau assez potable pour la boire. La nature, la diversité de la flore, de la faune et des écosystèmes constituent la clé de notre existence. Le dérèglement du climat menace les générations à venir.

Les calottes glaciaires et les glaciers fondent, les océans s’acidifient, les sécheresses alternent avec les pluies diluviennes, le temps devient instable. Tout cela résulte du réchauffement que nous ressentons déjà actuellement. Et, dans le Sud, on voit de plus en plus : pénurie d’eau, pénurie de nourriture, environnements malsains. Aujourd’hui déjà, cela se traduit par des centaines de milliers de réfugiés climatiques.

Les partis du système persistent dans l’orientation de l’énergie fossile, qui fait tourner l’économie à l’aide des combustibles fossiles sous la pression des lobbys des monopoles géants de l’énergie.

Nous voulons changer les priorités. Cela requiert une planification à long terme : un passage radical à l’énergie renouvelable, au chauffage urbain et à l’isolation, à des villes et des méthodes de production neutres pour le climat, à davantage de transports publics. Tout en respectant l’emploi et la justice sociale.

Le problème du climat est un problème du système. Tant que l’on comptera sur des taxes carbone, sur un marché du CO 2 et sur le capitalisme vert, le combat contre le changement climatique sera voué à l’échec. Nous tenons un plaidoyer chaleureux pour une autre logique dans la société, celle du Socialisme 2.0.

Change The World

La terre peut produire plus qu’assez pour nourrir tout le monde et de façon durable. C’est l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, la FAO, qui le dit. Pourtant, près d’un milliard d’êtres humains souffrent de sous-alimentation chronique et deux milliards n’ont aucune sécurité alimentaire. Toutes les dix secondes, un enfant meurt de malnutrition.

Le monde fonctionne au rythme de la chasse au profit. L’agro- industrie a plus de pouvoir que jamais, l’eau se mue en marchandise et des investisseurs sans conscience spéculent même sur la nourriture et la faim. C’est le monde à l’envers.

Nos gouvernements ne trouvent pas d’argent pour libérer les 0,7 % de nos richesses promis pour l’aide au développement. Et, depuis la crise, cela ne fait que régresser. On diminue l’aide au développement dans le même temps que l’on achète à des prix astronomiques de nouveaux avions de chasse et des bombes. Des millions de personnes fuient la faim, la pauvreté et la guerre. Les interventions militaires belges au Moyen-Orient ont contribué à provoquer le flux de réfugiés.

Nous voulons changer les priorités. Les gens d’abord, pas le profit, entre autres :

  • en ne participant pas aux interventions militaires à l’étranger ;
  • en assurant davantage d’aide au développement, et de meilleure qualité ;
  • en annulant les dettes des pays en développement envers la Belgique ;
  • en recevant dignement et humainement les réfugiés.

Socialisme 2.0 : une société à la mesure des gens

Dans notre société, tout est à vendre. Les gens sont évalués selon leur utilité, comme toute marchandise. La richesse produite par les gens grâce à leur intelligence, leur savoir-faire et leur travail n’est pas réinvestie dans la société. Elle disparaît dans les portefeuilles bien garnis des grands actionnaires. C’est une oligarchie de multinationales et de grandes banques qui a tout à dire.

Nous voulons changer les priorités. Nous voulons une société à la mesure des gens. Où la démocratie signifie que, nous aussi, nous pouvons décider vraiment des choses essentielles de la vie. Où les élus ont des comptes à rendre sur ce qu’ils ont fait. Où le droit au travail existe. Où les jeunes ont un avenir. Où avoir un emploi signifie également la stabilité et la sécurité. Où les soins de santé, le logement et l’enseignement sont garantis. Où les ressources écologiques et le savoir global de l’humanité sont reconnus comme patrimoine commun. Où les banques remplissent une fonction publique au lieu de spéculer, et où les secteurs clés sont sous contrôle social. Où la communauté a de nouveau de l’emprise sur la production, et où l’on peut planifier en tenant compte des besoins humains et de la capacité de la nature.

Bref, nous voulons une société socialiste, où la priorité c’est les gens, pas le profit. Ce n’est qu’alors que les êtres humains pourront se réaliser pleinement. Tel est pour nous le Socialisme 2.0.

Le PTB en dix mots-clés

Un parti où les gens se sentent chez eux. Ouvriers, employés, fonctionnaires, chômeurs, jeunes, intellectuels et indépendants. Le PTB compte 20 000 membres et ils se sentent tous chez eux au sein du parti.

Unité. Le seul parti national du pays. Actif dans plus de 140 villes et communes et dans 120 lieux de travail. En Wallonie comme en Flandre et à Bruxelles.

Diversité. Un parti actif sur des terrains très divers. L’emploi et le logement, la santé et l’environnement, l’enseignement et les droits démocratiques, la solidarité internationale et la paix.

Ouverture. Avec un fonctionnement démocratique, des structures transparentes et un regard ouvert sur le monde. Au PTB, pas de lobbies ni de jeux politiques.

À l’écoute. Le parti est toujours attentif à ce qui se passe sur les lieux de travail, à l’école ou dans les quartiers.

Nuance. Avec des analyses et interventions solidement argumentées. Pas en noir et blanc, mais avec la priorité à gauche.

Des actes. Pas de blabla, mais un parti qui agit concrètement. Comme Médecine pour le Peuple, avec ses quatre-vingts médecins dans onze maisons médicales où l’on soigne gratuitement 25 000 patients.

Collaboration. Collaboration avec les grandes organisations sociales et avec tous ceux qui défendent le progrès social, les droits démocratiques, la solidarité internationale, la paix et la protection de l’environnement.

Une gauche conséquente. Ne pas parler à gauche et agir à droite comme certains politiciens à 10 000 euros par mois. Mais agir à gauche de façon conséquente, avec des parlementaires, des mandataires et des cadres qui vivent d’un salaire moyen de travailleur.

Socialisme 2.0. Résolument pour une société sans exploitation de l’homme par l’homme et sans que l’homme épuise la nature.

À votre travail

Le PTB compte 20 000 membres et grandit chaque jour. Nous ne payons pas de coûteux sondages d’opinion pour savoir si nous devons être présents ou pas dans les quartiers populaires, sur les lieux de travail ou dans les organisations sociales. Nous y sommes, tout simplement.

Nous sommes actifs dans 120 lieux de travail et dans 140 villes et communes de tout le pays. En Wallonie comme à Bruxelles et en Flandre. Et là où nous ne sommes pas encore actifs, notre porte vous est grande ouverte. La contribution de chacun, petite ou grande, est la bienvenue.

Notre organisation compte également de nombreux syndicalistes. On oublie trop vite tout ce que nous avons obtenu par l’action collective des travailleurs. Congés payés, pensions, sécurité sociale et liberté d’expression ont été arrachés par la lutte sociale.

Nous devons mener une action sociale pour défendre ces droits acquis et, pour cela, nous avons besoin de syndicats forts et combatifs.

RedFox, le mouvement de jeunes le plus social du pays

Les RedFox sont jeunes et, comme les renards, sociables, espiègles et rebelles. Ils vivent en groupe et prennent soin des leurs, mais n’ont pas peur d’aller à la découverte de nouveaux horizons.

Les RedFox sont rouges, la couleur de ceux qui luttent pour une société plus juste et égalitaire.

Les RedFox sont diversifiés : ils sont tous différents, tous uniques, mais ils ne se laissent pas diviser et travaillent tous ensemble.

Les RedFox s’inspirent de Robin des Bois, le renard engagé : ils choisissent de défendre les 99 % contre les privilèges du 1 %.

RedFox est un mouvement des jeunes de 14 à 18 ans qui veulent comprendre le monde, rencontrer d’autres jeunes, apprendre et le faire en s’amusant. Ils s’engagent pour un monde plus égalitaire, social et durable.

RedFox est le mouvement des jeunes du PTB.

Toi aussi tu veux faire partie des RedFox ?

Facile ! Ça ne coûte que 2 euros par an.

N’hésite pas !

Contacte-nous :

redfox.be • Facebook : RedFox - fr • Mail : [email protected]

Sms : 0485 43 03 65

Dans votre quartier

Le PTB compte 12 députés fédéraux, 10 députés wallons, 11 députés bruxellois et 4 députés flamand, ainsi que des dizaines de conseillers provinciaux, communaux et de district. Ils vivent d’un salaire moyen de travailleur. Nos élus appliquent le principe « rue-conseil-rue ». Ils impliquent les gens dans les prises de décisions, avec des permanences, des assemblées populaires, des pétitions et des actions.

Qu’il s’agisse de logements au prix abordable, du maintien des bibliothèques de quartier ou des piscines publiques, d’investissements dans l’environnement et d’espaces verts publics suffisants, vous pouvez toujours compter sur les conseillers du PTB.

Le PTB a des sections dans tout le pays. Et, là où aucune section n’est encore active, nos portes sont ouvertes afin que vous puissiez être actifs avec nous, sous la devise : « Les gens d’abord, pas le profit. »

Et que disent les gens à propos du PTB ?

  • C’est un parti à notre mesure ;
  • Il ne tourne pas autour du pot ;
  • Il fait du bon travail pour les gens ordinaires ;
  • Les élus du PTB sont eux-mêmes de simples travailleurs.

Pionniers : partir à la découverte du monde de façon ludique

Deux fois par an, les Pionniers partent en camp avec des enfants de 6 à 16 ans en provenance de tout le pays. Chaque année, nous organisons également PioFiesta, le village des enfants à ManiFiesta.

Au cours de nos camps et activités, nous découvrons de façon ludique le monde qui nous entoure ainsi que des univers bien plus lointains. Nous le faisons pour pouvoir nous engager pour une société juste, dans laquelle chaque enfant, chaque jeune pourra s’épanouir à tous les niveaux.

Nous travaillons avec des jeunes qui, en tant que moniteurs enthousiastes, lancent aux enfants des défis pour réfléchir comment aller de l’avant tous ensemble. Tout le monde est le bienvenu au camp et nous y mettons la solidarité en pratique à notre façon, à la façon des Pionniers.

Dès l’âge de 17 ans, tu peux nous accompagner comme moniteur ou monitrice. Tu contribueras à faire vivre aux enfants une semaine inoubliable et tu évolueras en même temps dans un solide groupe d’amis. Nous formons de nouveaux moniteurs et monitrices durant nos week-ends de formation et nous les aidons à obtenir leur attestation officielle de moniteur.

Les Pionniers sont le mouvement progressiste et bilingue des jeunes de Médecine pour le Peuple et du PTB.

Plus d’informations : pionniers.be

Comac, Students For Change

Comac est une organisation nationale et bilingue active dans les grandes villes étudiantes du pays. Elle rassemble des jeunes étudiants désireux de changer le monde.

Changement : nous ne fermons pas les yeux sur l’injustice et nous transformons notre indignation en engagement à changer le monde.

Optimisme : nous sommes résolument tournés vers l’avenir et nous cherchons des alternatives positives qui aident les êtres humains et l’environnement à aller de l’avant.

Créativité : tout le monde a du talent, tout le monde apporte sa petite pierre à l’édifice. Ensemble, nous sommes forts et, ensemble, nous faisons valoir toute notre créativité.

Dynamique : nous sommes des acteurs qui pensent et des penseurs qui agissent. Sans engagement, il ne peut y avoir de changement.

Marxisme : nous débordons de travail de réflexion et d’analyse, de débat et de discussion sur le capitalisme contemporain et sur un monde sans exploitation, le Socialisme 2.0.

Comac mène des actions sur l’enseignement, la durabilité, la justice sociale et bien d’autres choses encore.

Trois grands rendez-vous par an :

  • à l’École Karl Marx : formation, analyse, débat et discussion ;
  • au camp d’été de Comac ;
  • dans le village des jeunes de ManiFiesta, le festival de la solidarité.

Devenir membre de Comac ne coûte que 5 euros par an.

Plus d’informations : chengetheworld.be

Mix*

Le PTB entend bien être le représentant politique de l’ensemble des travailleurs de notre pays, sans distinction de sexe, de nationalité, d’origine, d’orientation sexuelle ou de religion. La discrimination sur base de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre à la vie dure dans notre société. On a connu bien des progrès, mais la violence homophobe ou transphobe est encore trop présente et les LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres) demeurent un groupe très vulnérable.

À Mix*, nous cherchons des solutions et bâtissons ensemble une société super-diversifiée où la discrimination n’aura aucun droit de cité.

Quelle que soit votre orientation sexuelle ou votre identité de genre, ralliez Mix* !

Désirez-vous travailler autour de thèmes LGBT ou de genre ?

Désirez-vous élaborer des points de vue et organiser des activités ? Dans ce cas, vous êtes bienvenu à Mix* !

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Solidaire

Le magazine mensuel Solidaire porte un regard marxiste sur le monde. Il est réalisé par une équipe de collaborateurs fixes et bénévoles, eux-mêmes actifs dans divers mouvements sociaux. Solidaire est le magazine mensuel du PTB, et suit également l’actualité au quotidien sur www.solidaire.org.

Vous y trouvez :

  • un autre regard sur les points chauds de l’actualité qui vous concerne ;
  • des interviews de syndicalistes, d’artistes et de personnalités progressistes ;
  • des analyses sur des thèmes comme la vie chère, l’enseignement, l’accès aux soins de santé, l’environnement, le logement, la politique de l’Union européenne, la paix... ;
  • des témoignages et des lettres de travailleurs ;
  • des nouvelles des entreprises et des quartiers que vous ne trouverez nulle part ailleurs.

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